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Coupe du monde des clubs : facile, le PSG débute idéalement son tournoi face à l’Atlético

Les Parisiens n’ont guère tremblé contre les Matelassiers dimanche, au Rose Bowl de Padasena, pour leur entrée en lice au Mondial des clubs.

Un départ en fanfare. Et un message envoyé au monde. Deux semaines après avoir remporté la Ligue des champions, le PSG a idéalement débuté le Mondial des clubs, en étrillant l’Atlético Madrid à Los Angeles (4-0). Le club de la capitale a fait honneur à son statut de favori et a su appliquer les recettes qui ont fait sa force cette saison. Prochain rendez-vous pour les Parisiens : jeudi face à Botafogo, avec d’ores et déjà l’occasion de valider la qualification en huitièmes de finale.

Le PSG fait le show d’entrée

Nouvelle compétition, mais un indéniable air de déjà-vu. Sacré champion d’Europe au terme d’un parcours remarquable, le PSG a démarré son Mondial des clubs par une nouvelle démonstration de force. Face à un Atlético Madrid qui n’a jamais fait le poids. Pour ce baptême du feu au Rose Bowl de Los Angeles, Luis Enrique a sorti l’artillerie lourde. Hormis Dembélé, forfait et remplacé par Ramos à la pointe de l’attaque, tous les titulaires de la dernière finale de C1 étaient reconduits au coup d’envoi. Et Fabian Ruiz a été le premier à se mettre en évidence. A la conclusion d’un (énième) modèle d’action collective, le milieu de terrain espagnol a ouvert le score, d’une frappe rasante bien placée (1-0, 19e). Asphyxiés autant par la chaleur que par les longues séquences de possession et le contre pressing du PSG, les Colchoneros n’ont jamais réagi en première période. Et ont de nouveau craqué juste avant la pause. Pas attaqué par une défense spectatrice, Vitinha a eu tout le temps d’ajuster Oblak à l’entrée de la surface (2-0, 45e+3).

Lenglet craque, Paris sans pitié

Sans avoir à forcer, le PSG a gardé le contrôle des débats en seconde période. Hormis une grosse frayeur, sur un but d’Alvarez finalement refusé après intervention du Var (55e), les Parisiens n’ont laissé aucun espoir à des Madrilènes toujours aussi impuissants. Et particulièrement nerveux. À l’image d’un Lenglet dépassé tout au long d’une rencontre qu’il a quitté prématurément, sur un carton rouge reçu en fin de match (78e). En supériorité numérique, le PSG a déroulé et a su matérialiser la différence de niveau abyssale qui existait ce dimanche entre les deux équipes. Mayulu, servi involontairement par Griezmann (3-0, 87e) et Lee sur penalty (4-0, 90e+7) ont parachevé la démonstration parisienne. Surfant sur une incroyable dynamique, le PSG est effectivement prêt à conquérir le monde, après avoir mis l’Europe à ses pieds.

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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