La partie de foot vire au drame : il se suspend à la barre transversale et elle lui tombe dessus, un garçon de 11 ans meurt en Occitanie
Le 8 mai 2025, un garçon de 11 ans est mort alors qu’il jouait au football chez l’un de ses voisins, à Pins-Justaret, commune située au sud de Toulouse.
À une quinzaine de kilomètres au sud de Toulouse, un accident a coûté la vie à un enfant de 11 ans. Le jeune garçon était en train de jouer au football chez l’un de ses voisins à Pins-Justaret sur un terrain privé. La cage en fer qui servait de but lui est tombée dessus et il n’a pas survécu, rapportent nos confrères de France Bleu.
« Un événement dramatique survenu dans un moment ludique »
Selon le média local, la victime se trouvait dans les cages. Le garçon a décidé de se suspendre à la barre mais elle lui est tombée dessus. Blessé, il est dans un état grave à l’arrivée des secours et était en insuffisance respiratoire, selon le média local.
Le garçon faisait partie du club de football de la commune à l’instar de l’ami avec qui il jouait lors de l’accident. La victime était issue d’une famille de deux enfants et avait donc un grand frère qui avait deux ans de plus.
Il semblerait que l’état du but était problématique. Le père d’un ami du garçon décédé avait prévenu quelques minutes avant le drame qu’il ne fallait pas se suspendre à la barre transversale et qu’il fallait faire attention, a indiqué le maire de Pins-Justaret. « C’est un événement dramatique survenu dans un moment ludique, auquel on ne peut pas s’attendre. La commune s’associe pleinement à la douleur de la famille »
Le choc
« Ces faits dramatiques font l’objet d’une enquête ouverte pour homicide involontaire. Il s’agit de bien déterminer les conditions dans lesquelles ce très jeune garçon a perdu la vie », a indiqué le procureur de Toulouse, David Charmatz, à nos confrères de La Dépêche.
Pour la famille et les amis de la victime, c’est le choc. Une cellule d’écoute a été mise en place ce lundi a été mise en place pour ses camarades d’école. « Le rectorat a été réactif. Dès 8 h 30 l’infirmière scolaire a reçu les élèves qui le souhaitaient. À 10 heures, assistante sociale et psychologue scolaire ont organisé une cellule d’écoute jusqu’à 16 h 30 pour assurer soutien et assistance aux élèves, très touchés par cet accident », a confié Erik Mourgues, le principal adjoint.
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