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« Les Tunisiens ont beaucoup parlé… », Hakimi règle ses comptes après la victoire du Maroc

Après sa défaite en match amical contre le Maroc (2-0) vendredi à Fès, la Tunisie a été reprise de volée par les Lions de l’Atlas, à commencer par Achraf Hakimi.

Durant la semaine, les Tunisiens ont enchaîné les petites phrases pour lancer ce derby, bien qu’ils ne l’abordaient pas en position de favori.

Peut-être qu’ils pensent que ce n’est qu’un match de gala ou l’inauguration d’un stade rénové. Mais ils verront que les Tunisiens, ce sont des vrais hommes. On va revenir avec la victoire“, avait d’abord asséné le capitaine des Aigles de Carthage, Ferjani Sassi.

Le Maroc espère nous battre…, mais la Tunisie les bat à chaque fois“, avait ensuite abondé Zied Jaziri, directeur sportif de la sélection tunisienne.

Ils ont dit qu’ils voulaient venir gagner dans notre maison

Si les Marocains sont restés silencieux, ces propos n’étaient bien entendu pas tombés dans l’oreille de sourds. Et, à l’issue de la victoire dans le derby, Achraf Hakimi, auteur de l’ouverture du score à la 80e minute, n’a pas manqué de renvoyer la monnaie de leur pièce aux Tunisiens.

On sait que la Tunisie voulait venir là, ils ont beaucoup parlé. Ils ont dit qu’ils voulaient venir gagner dans notre maison, a glissé le latéral droit du Paris Saint-Germain en zone mixte. Mais on a montré qu’il n’y a plus de matchs faciles. Le Maroc a grandi, on a pris du plaisir, on a joué comme on sait le faire et on a gagné, c’est ça le plus important.

En termes de gestion émotionnelle du derby, le pays-hôte de la CAN 2025 (du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026) a démontré qu’il a toutes les ressources nécessaires pour se montrer à la hauteur de la pression qui l’attendra lors de l’événement.



Auteur : Lantheaume Romain

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Cédric

Depuis 1998, je poursuis une introspection constante qui m’a conduit à analyser les mécanismes de l’information, de la manipulation et du pouvoir symbolique. Mon engagement est clair : défendre la vérité, outiller les citoyens, et sécuriser les espaces numériques. Spécialiste en analyse des médias, en enquêtes sensibles et en cybersécurité, je mets mes compétences au service de projets éducatifs et sociaux, via l’association Artia13. On me décrit comme quelqu’un de méthodique, engagé, intuitif et lucide. Je crois profondément qu’une société informée est une société plus libre.

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